mercredi 22 juillet 2015

Jeanne, Albert, Anaïs, Ella, je les porte toujours en moi. Chevillés à ce besoin d’écrire qui est là, lancinant, étouffé par le quotidien, la routine et le poids des choses à faire avant demain, avant hier, avant là, maintenant, tout de suite. Alors doucement essayer de venir reprendre le chemin de leurs vies et de la mienne en filigrane. Venir essayer de trouver les mots et les espaces pour dire le caché, le ténu, le fragile en eux et en moi en miroir.